Les Années folles
C’est la fin de la première guerre mondiale et la
génération des jeunes en France chasse le divertissement avec l’excès de
drogues et d’alcool. Paris accueilli vagues d'écrivains, peintres et
artistes d’autres pays qui y arrivent pour se libérer artistiquement. Simultanément, la liberté s'exprime à travers changements révolutionnaires à la mode féminine. Les bourgeois commencent à
se perdre dans les nuages de la nouvelle « classe BoBo. »
Caractéristiques :
Idée de complètement effacer la silhouette
féminine et créer un style unisexe qui masculinise la femme. La coupure des
cheveux au style « bob » est choquante pour les vieilles générations
mais elle représente une libération et une folie d’esprit qui domine les années
20.
La fourrure d’animaux est très populaire pour les manteaux des femmes bourgeoises à Paris. C’est aussi très cher. Les colliers longs de perles sont popularisés par la maison Chanel.
L’un des changements les plus radicaux est la libération "visuelle" de la femme qui maintenant peut montrer son cou, ses mollets et ses bras. Il n’y a rien couvert en comparaison à deux décennies d’avant.
La fourrure d’animaux est très populaire pour les manteaux des femmes bourgeoises à Paris. C’est aussi très cher. Les colliers longs de perles sont popularisés par la maison Chanel.
L’un des changements les plus radicaux est la libération "visuelle" de la femme qui maintenant peut montrer son cou, ses mollets et ses bras. Il n’y a rien couvert en comparaison à deux décennies d’avant.
Influences :
Le monde de Marcel Proust. Drogues.
Artistes de tout le monde à Paris, Joséphine Baker, un Paris du jazz et
surréalisme, la nouvelle technologie et le transport de la musique partout. Le
désir d’oublier le trauma de la Première guerre mondiale.
Hypothèse :
La nouvelle génération des bourgeois se mélange avec les BoBos, ils sont tous touchés par la destruction de la Première guerre mondiale. Ils se submergent dans un
monde de folie où le genre n’est plus important, ou la longueur et le poids des
vêtements féminins n’a plus lieu, et où tout ce qu’importe est la consommation des
drogues et l’expérience artistique. La bourgeoisie se mélange avec ce nouveau
milieu des bohémiens internationaux, inhibés à une structure sociale qui opprime
les sexes. La mode se voit simplifiée pour accueillir aux besoins d’une liberté
d’esprit, de mouvement, et des règles sociales strictes, car après la guerre
les gens ne veulent pas écouter ce qu’ils peuvent ou ne peuvent pas faire.
Paris devient une capitale de la mode, et aussi une capitale artistique où tout les artistes et écrivains du monde se réunissent pour trouver un sens à leur existence. Cette période de recherche du plaisir en même temps ouvre la porte à une libération féminine.
Paris devient une capitale de la mode, et aussi une capitale artistique où tout les artistes et écrivains du monde se réunissent pour trouver un sens à leur existence. Cette période de recherche du plaisir en même temps ouvre la porte à une libération féminine.
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