Chic entre deux guerres
Après d’une décennie de « folie » la France
et le reste des pays industrialisés à l’Ouest tombent dans une dépression
économique qui résulte en une sobriété d’esprit. La mode bourgeoise est à
chaque instance moins exclusive, avec une quantité des couturiers qui essaient
de rendre les styles en vogue accessibles à ceux en-dehors de lignes bourgeoises.
Caractéristiques :
Jupes et chemises longues et simples,
boutonnées en devant. La figure longue et maigre est populaire. On voit le
retour de la silhouette féminine accentuée par la longueur des jupes.
Il existe un côté pratique aux vêtements maintenant, même pour la femme bourgeoise. Les robes luxurieuses sont réservées pour les événements de la nuit, et ne sont plus usés pendant le jour car la société française est en train de changer et il faut se mobiliser au pas de la nouvelle technologie.
Le dos nu et le col boule se popularisent grâce à Vionnet. Les cheveux commencent à se porter longues encore une fois. Les ponchos en poile sont utilisés aussi par la femme bourgeoise à Paris ; en contraste avec la figure longue, ils créent une silhouette typiquement classique de cette décennie.
Le crêpe, la soie et le chiffon restent populaires pour des robes de balle et pour les jupes de ce moment. La laine s’utilise beaucoup. Parmi les inventions les plus populaires et révolutionnaires de cette période est le Nylon et le Zip.
Christian Dior, une figure clé vers la fin des années 30, désigne de la haute couture pour la bourgeoisie parisienne. Son style restera haute société jusqu’au présent.
Il existe un côté pratique aux vêtements maintenant, même pour la femme bourgeoise. Les robes luxurieuses sont réservées pour les événements de la nuit, et ne sont plus usés pendant le jour car la société française est en train de changer et il faut se mobiliser au pas de la nouvelle technologie.
Le dos nu et le col boule se popularisent grâce à Vionnet. Les cheveux commencent à se porter longues encore une fois. Les ponchos en poile sont utilisés aussi par la femme bourgeoise à Paris ; en contraste avec la figure longue, ils créent une silhouette typiquement classique de cette décennie.
Le crêpe, la soie et le chiffon restent populaires pour des robes de balle et pour les jupes de ce moment. La laine s’utilise beaucoup. Parmi les inventions les plus populaires et révolutionnaires de cette période est le Nylon et le Zip.
Christian Dior, une figure clé vers la fin des années 30, désigne de la haute couture pour la bourgeoisie parisienne. Son style restera haute société jusqu’au présent.
Influences :
Jean Patou et Christian Dior comme
couturiers. Avancements technologiques, climat de paix sociale jusqu’avant la
deuxième guerre mais dépression économique. Disparation peu à peu des
distinctions sociales en base des vêtements.
Hypothèse :
La société est en mouvement, et la
monté de chic arrive avec un côté pratique auparavant inaccessible (en pas nécessaire)
pour la femme bourgeoise à Paris.
On supère l’époque des années folles mais on ne reprend plus la silhouette détaillée de la femme. La longueur et le style chic et calme de cette décennie connotent une tranquillité, et une allure stylisée sans être extravagant.
En même temps on commence a ressentir l’avènement d’une deuxième guerre à l’horizon, donc il faut pouvoir se mobiliser. Les luxes sont mis en côté, et le progrès de la mode à Paris va s’arrêter un peu pendant les 5 à 10 ans qui suivent.
On supère l’époque des années folles mais on ne reprend plus la silhouette détaillée de la femme. La longueur et le style chic et calme de cette décennie connotent une tranquillité, et une allure stylisée sans être extravagant.
En même temps on commence a ressentir l’avènement d’une deuxième guerre à l’horizon, donc il faut pouvoir se mobiliser. Les luxes sont mis en côté, et le progrès de la mode à Paris va s’arrêter un peu pendant les 5 à 10 ans qui suivent.
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